Rapport alternatif sur la mise en oeuvre de la Convention d'Istanbul en Belgique
En 2016, la Belgique a ratifié la dite Convention d'Istanbul, premier texte international contraignant en matière de lutte contre toutes les formes de violences faites aux femmes. Ce faisant, les pouvoirs publics se sont engagés à respecter à tous les niveaux (fédéral, régional, communautaire et communal) les obligations formulées par cette Convention à travers la prévention des violences, la protection des victimes, la poursuites des auteurs et la coordination des politiques aux différents niveaux de pouvoir (synthèse des lignes de force de la Convention ici).
En 2019, la société civile a déposé, en parallèle au rapport officiel de l’Etat, un rapport alternatif sur la mise en oeuvre de cette Convention en Belgique qui souligne que, sur base des constats de terrain, 80% des articles de la Convention sont peu, mal ou pas du tout réalisés.
Ce rapport alternatif met aussi en évidence une série de recommandations, parfois portées de longue date par la société civile qui insiste sur leur mise en application, notamment à travers le nouveau plan d'action national de lutte contre les violences faites aux femmes (2020-2024) qui est en cours d'élaboration sous le pilotage de l'Institut pour l'Egalité des Femmes et des Hommes.
En 2019, la société civile a déposé, en parallèle au rapport officiel de l’Etat, un rapport alternatif sur la mise en oeuvre de cette Convention en Belgique qui souligne que, sur base des constats de terrain, 80% des articles de la Convention sont peu, mal ou pas du tout réalisés.
Ce rapport alternatif met aussi en évidence une série de recommandations, parfois portées de longue date par la société civile qui insiste sur leur mise en application, notamment à travers le nouveau plan d'action national de lutte contre les violences faites aux femmes (2020-2024) qui est en cours d'élaboration sous le pilotage de l'Institut pour l'Egalité des Femmes et des Hommes.